Zaynab épousa son cousin, Abou Al Ass Ibn Rabii. De cette union, sont nés deux enfants, un garçon et une fille, Oumaima et Ali. L’aînée de notre prophète fait partie des toutes premières musulmanes. Elle ne participera, cependant, pas à l’émigration vers Médine. Son mari avait refusé de se convertir. Elle fera donc ce sacrifice et restera à la Mecque avec sa famille. Ses sacrifices
Khaoula était déjà mariée à Othmane Ibn Madhum quand ce dernier devint musulman. On raconte qu’il est rentré un soir et qu’il a dit à sa femme : «Je suis le 13e homme musulman, et ce soir, je vais rejoindre le prophète». Elle s’écria : «Moi aussi je veux être musulmane !». Les savants disent que ce couple était déjà prêt à entrer
Elle est née l’année de la reconstruction de la Kaaba. Ses deux frères sont morts en bas âge et ses sœurs ont quitté le monde avant le prophète. A cette époque, on se moquait souvent du prophète parce qu’il n’avait pas de fils. Et il répondait : «Fatema est ma rayhana (belle fleur) sur terre». Fatem Zahra, princesse de son père Le Prophète (salut et
Elle était membre de l’importante tribu mecquoise de Bani Assad. Elle avait déjà trois enfants de deux précédents mariages. Khadija avait tout pour elle, riche, belle, mais surtout très douce. Elle avait déjà entendu parler de Mohamed, qui, même avant la révélation divine, était connu pour son intégrité. Il était apprécié de tous pour ses qualités et était
Récemment publié en ce mois de mars, marqué par la Journée internationale des droits des femmes, un document du Policy centrer for the south analyse les axes sur lesquels la réforme du Code de la famille gagnerait à faire actualiser les lois. Proposé par Nouzha Chekrouni et Abdessalam Saad Jaldi, ce research paper intitulé «Le Code de la famille marocain (Moudawana) : réalités et perspectives de réformes»
La Maison de la presse à Tanger a rendu hommage, vendredi, à une figure emblématique du mouvement féministe, Latifa Jbabdi. S’exprimant à cette occasion, la militante a indiqué que cette initiative était une reconnaissance au combat mené par les femmes marocaines pour l’égalité et la parité, soulignant que le Maroc peut être fier des progrès en matière de droits des
Le salaire médian est évalué à 3 400 DH pour les hommes, contre 2 800 DH pour les femmes, soit un écart de 20% en faveur des hommes, selon le Haut-commissariat au Plan (HCP). «En 2019, le salaire mensuel moyen s’élève à 3 800 DH par salarié au niveau national, avec une différence notable entre les milieux urbain et rural, où il s’établit respectivement à 4 500 DH et 2 200 DH. En moyenne,
Le secrétaire général du Parti de la justice et du développement (PJD), Abdelilah Benkirane, a été épinglé par l’association Touche pas à mon enfant, qui a dénoncé les récentes déclarations du numéro un de la formation islamiste concernant son opposition à l’interdiction et à la criminalisation du mariage des mineures. Remise en avant dans le contexte du débat en
Alors que le Maroc célèbre ce 8 mars la Journée internationale des femmes, plusieurs Marocaines au parcours remarquable sont sous les feux des projecteurs. Parmi elles, Halima Warzazi, peu connue du grand public, mais qui a occupé depuis 1961 jusqu’à aujourd’hui, plusieurs postes de responsabilité notamment au sein des Nations unies. Halima Warzazi a vu le jour à Casablanca le 17 avril 1933 au sein d’une famille
Touria Chaoui est la première femme aviatrice de l’histoire du Maroc et du monde arabe. Fille d’un intellectuel avant-gardiste, elle perça tôt dans un domaine professionnel qui n’était alors réservé qu’à ses congénères. Ainsi, elle devint rapidement une héroïne pour nombre de ses concitoyennes, au même moment où le pays menait sa bataille pour l’indépendance. Cependant,