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Voleurs d'organes !
a
22 novembre 2004 22:51

Un cri pour ceux qui ont etaient volé .

Souvent au bled les pauvres gens qui meurent d'un accident comme innalation de gaz , électrocution ou autres . Se font charcuter et puis remis dans un sac en plastique a leur famille.

Il s'agit de gens pauvres qui ne peuvent se defendre . On leur dit qu'ils font leur travail pour savoir de quoi est mort la personne !

Je reste persuadé qu'un crime se voit a l'oeil nu et assez de mensonge !!!

L'exemple d'un jeune m'interpelle (Allah irehmou ), je me dois de dennoncer les faits :

C'est un jeune qui travail en ville pour subvenir a sa famille , il avait preparer ses vetement neufs pour "El haide" sur son lit .
Apres avoir pris une douche , le bulex butane la tuer .Il est retrouver mort par un membre de sa famille a qui la maman (avait un mauvais presentiment et) a demander d'aller le voir illico presto .
Il était mort le pauvre .Il a fallu quelques jours avant que l'hopital ne leur rende le corps dans un sac et un 'kfen" completement ensanglanté !
Il y avait pas moyen de lui faire les ablutions .


Pkoi ne pas donner un peu d'argent dès lors a cette famille meurtris !
Ces organes sont acheter a prix d'or n'est ce pas !



Je voulais que ce sujet soit vu ici sur general et apres il sera sur diwan al madalim .


a
22 novembre 2004 23:07

Je me suis mal exprimer , je voulais dire que ceux qui ont pris ses organes doivent payer .


a
22 novembre 2004 23:36

Ces cas malheureux vous interpellent pas !

Je regarder un emission sur 2M il y a deux jours je crois . Il parlé d'un marocain d'Italie qu'on a enterré apres un accident d'autocard .
Il avait était volé de tout et enmener a un hopital avec un short .
Sa famille ont couru dans tout les sens pour retrouver cet homme que la douane n'avait pas enregistré comme sortis.
Une bague trouver chez un policier qui les connaissés de loin , a permis de faire la lumière sur cette disparition tragique !
Une vrais honte !

Les malheureux paient meme en terre d'Islam , il faut denoncer ...
f
23 novembre 2004 07:17
abdel,
bouhhhhhh t es sombre toi !
en pleine déprime !!

bon vivement l année prochaine que t aies ......et un an ! lollll
r
23 novembre 2004 07:23
c malheureux!!! effectivement abdell

ces cas sont très fréquent

ce qui me choque le plus c'est de voir le trafic d'organes faites par des femmes aux services de je ne ss ki et en pleins ds les bidonvilles

c'est un crime affreux !!! ....


inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
anouarcharif's
23 novembre 2004 08:10
bonjour
ces crimes ca fait des années que tout le monde est au courant meme l etat, des Familles pauvres qui peuvent pas payer un avocat pour avoir droit a la justice(si celle ci existe), a la fin elles anterres ses morts et ....

meme si tu mets dans diwan madalim ca change rien du tout, je me souviens ya des années au Maroc , qd ca a commencé avec les crimes de vols des organes, ils avaient parlé d un traficant tres connu et surtout tres riche, apres on a rien entendu...on l a meme pas interrogé meme la presse a fermé ce dossier...

ce sont des Hommes haut placés les responsables, c est pour ca meme si tout le monde cris ces crimes ,y aura jamais de justice et ca continu de toute facon..

bonne journée a tout le monde smiling smiley
s
23 novembre 2004 09:59
C’est vrai que c’est écoeurant, ce sont toujours les massakine qui paient.
Je ne voudrai pas faire dans le morbide, mais disons que lorsque c’est fait sur des morts c’est horribles, mais le pire c’est quand on kidnappe de jeunes enfants pour prélever des organes.
Par ailleurs cette atrocité me tracasse, car il me semble qu’un organe ne peut survire à l’air libre ou alors très peu de temps, ce qui signifie que des médecins sont dans la magouille (ou du moins des gens de la profession) ou alors que les meurtriers agissent sur commande.
On a besoin d’yeux, de cœurs, de poumons…

Que Dieu maudisse ces assasins.

Ma3a salama
anouarcharif's
23 novembre 2004 17:29
soussou24 a écrit:
-------------------------------------------------------
> C’est vrai que c’est écoeurant, ce sont toujours
> les massakine qui paient.
> Je ne voudrai pas faire dans le morbide, mais
> disons que lorsque c’est fait sur des morts c’est
> horribles, mais le pire c’est quand on kidnappe de
> jeunes enfants pour prélever des organes.
> Par ailleurs cette atrocité me tracasse, car il
> me semble qu’un organe ne peut survire à l’air
> libre ou alors très peu de temps, ce qui signifie
> que des médecins sont dans la magouille (ou du
> moins des gens de la profession) ou alors que les
> meurtriers agissent sur commande.
> On a besoin d’yeux, de cœurs, de poumons…
>
> Que Dieu maudisse ces assasins.
>
> Ma3a salama
>


moi j ai entendu dire que ce sont des medecins et des derigeants des hopitaux qui travaillent ensemble avec les kidnapeurs des enfants...c est monstrueux...
s
23 novembre 2004 17:59
Salam Abdel ,



Ultime offense 29 novembre 2000


La grand-mère et l’oncle d’Andreï ont été arrêtés récemment par la police moscovite alors qu’ils s’apprêtaient à vendre l’enfant pour la somme de 90 000 dollars. Dans leurs déclarations, ils ont prétendu vouloir assurer un meilleur avenir au petit garçon en le faisant adopter par des étrangers. Mais d’après les enquêteurs, Andreï aurait été vendu pour ses organes (reins, yeux, poumons, cœur etc.) d’où l’importance du montant de la transaction. Considéré durant de nombreuses années comme une rumeur révélatrice de peurs profondément enfouies dans la conscience universelle, le trafic d’organes est, aujourd’hui, une réalité démontrée, même si les gouvernements ne semblent pas pressés de faire obstacle à ce commerce aussi ignoble que juteux : la demande sans cesse croissante d’organes humains de la part des pays riches, en vue de greffes et de transplantations, explique l’ampleur de ce phénomène qui s’étend de l’Amérique Latine à l’Asie.

Oui, les nations développées n’ont pas de craintes à avoir : les pays du sud constituent un fabuleux réservoir d’organes - certes, plus ou moins sains... - dans lequel ils pourront puiser durant de longues années. En Inde, par exemple, la jeune paysanne qui ne peut envisager de se marier parce qu’elle n’a pas de dot, n’a plus à se lamenter : elle a toujours un rein qu’elle peut monnayer à Madras ou à Bombay. En revanche, en Chine, les condamnés ne risquent pas de tirer bénéfice du dépeçage de leur corps effectué, sans leur consentement, juste après leur mise à mort. Les organisations humanitaires, qui s’interrogeaient sur les raisons de l’augmentation considérable des exécutions dans « l’empire du milieu » ces dernières années, ont maintenant la réponse : les organes d’un criminel représentent des dizaines de milliers de dollars ; de plus, il est si facile de faire correspondre l’application de la peine de mort avec l’arrivée d’un riche occidental dans une clinique toute proche. Et puis, il y a ces enfants des rues colombiens, mexicains ou brésiliens retrouvés énucléés ou dépecés, sans que l’on puisse attribuer aux rats ce morbide ouvrage, mais seulement à des mains expertes. Au fur et à mesure que les langues se délient et que s’ouvrent les dossiers judiciaires, les nations qui ne seraient pas concernées par le trafic d’organes se font plus rares : contrebande entre l’Albanie et l’Italie, commerce illégal entre le Japon et les Etats-Unis, vagues de rapts en Amérique du Sud... Certes, pourquoi un patient européen ou américain fortuné attendrait-il durant des mois un organe que des cliniques des pays pauvres lui proposent au jour de son choix ?

Bien entendu, si ces trafics humains - qui concernent de plus en plus les enfants - ne peuvent que soulever l’indignation de la communauté internationale, la transplantation d’organes pratiquée légalement est, le plus souvent, considérée comme un grand bien. Qui oserait, en effet, critiquer les parents dont l’enfant vient d’être accidenté et qui acceptent, avec courage, que ses organes puissent participer à prolonger une autre vie ? Mais tout n’est pas si idyllique, loin de là ! David Rothman, directeur de la « Bellagio Task Force » constituée de chirurgiens, spécialistes de la transplantation et activistes des droits humains, expliquait en 1998 que « la notion de pénurie d’organes est issue d’un besoin créé artificiellement » par un système exclusivement régulé par la loi du marché. « Des termes tels que donations, cadeaux, vies sauvées viennent masquer des pratiques douteuses sur le plan éthique » qui prennent leur source dans la peur de vieillir et de mourir de beaucoup de nos contemporains. Et c’est ainsi que des états, pour alimenter un commerce extrêmement profitable, s’approprient ni plus ni moins les corps de leurs citoyens décédés : c’est le cas en Allemagne, en Autriche, au Brésil et en Espagne où la médecine peut ainsi disposer des organes des morts comme elle l’entend, ceux-ci étant « présumés consentants ». De plus, une précision s’impose concernant le terme de « mort » : il s’agit bien sûr de mort cérébrale et non de l’arrêt des fonctions cardiaques et de la décomposition des organes, lesquels ne seraient manifestement plus utilisables.

Il faut donc se rendre à l’évidence, la loi de l’offre et de la demande impose son joug insupportable à tous les stades de l’existence, y compris le dernier. De la misérable compensation financière que tire un nécessiteux de l’ablation de son rein jusqu'au maintien en vie artificielle d’accidentés de la route pour permettre la récupération du moindre de leurs tissus, où sont donc la fraternité et le respect de la personne ? Est-ce toujours le désir de sauver des vies qui motive cette frénésie de transplantations ? Il est raisonnable d’en douter tant les droits de l’individu en train de mourir semblent, eux, de peu d’importance ! Il serait extrêmement facile de mettre un peu plus d’humanité dans ce domaine : il suffirait que le don et la gratuité que la société se plaît à exalter, quand il s’agit d’influencer des parents pour qu’ils laissent le corps de leur enfant à la disposition de la science médicale, soit la règle pour tous. En d’autres termes, que l’argent soit rigoureusement banni de ce système et que l’on rende à tout organe vivant un peu du caractère sacré qu’il détient lorsqu’il sert à manifester la vie chez ceux que nous aimons.

siryne
a
23 novembre 2004 19:37
merci de votre contribution .

Denoncer est le maitre mot pour éveiller et sensibiliser les gens .

Celui qui est vivant et qui vend son ovaire ou son rein de plein gré c'est son problème . Le vol sur un malheureux a qui la chance n'a pas sourit et qu'il faut encore dépaissé pour meurtrir sa famille est inadmissible .

socialisme , democratie , capitalisme , populisme , ... et quoi d'autre si on a plus le droit de mourir entier et en dignité n'importe ou dans le monde !
 
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