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CHN-W a écrit:
Assalāmou 'alaykoum wa rahmatoullāh.
Quand j'étais ado, une nuit. Définition du silence : absence de son. Mais quand il n'y a aucun bruit, j'entends quand même un sifflement aigu. Ce n'est pas normal. J'ai trouvé que ça s'appelait un acouphène.
La vérité, c'est le réel.
Wassalāmou 'alaykoum wa rahmatoullāh.
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Blagueur* a écrit:
Probablement quand les parents ont validé : ils ont émis une requête à l'enfant : apporte l'objet X, l'enfant teste (méthode heuristique échecs/réussites) en apportant différents objets, jusqu'à apporter enfin le bon X, à ce niveau la validation des parents, créé une relation vraie entre deux perceptions visuelle et auditive : l'objet vu X devient identifié et nommé et les autres objets précédemment apportés ne sont pas "X" (non vraie).
Un objet est soumis à des interactions et il est caractérisé par ses lois de comportement, par les effets qu'il produit sur nos sens (couleur, forme, poids, texture, odeur, goût, etc...) ou sur des capteurs qui prolongent notre champs de perception d'observation (ultrasons, infrasons, infra-rouge, ultraviolet, balances, réactions chimiques et indicateurs colorés, densité etc ... Par ses états soumis à des températures (solide, liquide, gaz)
Un objet peut être décrit par une liste de caractéristiques dont certaines sont invariantes.
L'univers est le monde extérieur// monde intérieur des perceptions des signaux // monde des représentations et modélisations (verbal, imagination, impression//expression).
La vérité d'un théorème résultant d'une démonstration longue et difficile à vérifier chez les mathématiciens résulte du consensus commun et général (on fait confiance). De même pour les physiciens plusieurs laboratoires confirment ou infirment une découverte d'une planète, d'un trou noir, d'une nouvelle particule.
Le langage tisse des relations "vraies" en nommant un objet, mais le même objet à un nom ou vocable désignatif différent selon la langue du groupe ou pays. On voit par là que la vérité est une convention porteuse du consensus de la majorité des individus : désigner le même objet par le même nom, voire des synonymes, le consensus porte aussi bien sur le sens propre que celui figuré.
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CHN-W a écrit:
J'ai aussi découvert que les gens non-asiatiques avec le cérumen humide, qui ressemble à du miel. La première fois que j'ai vu ça, j'ai pensé que la personne était malade.
Ce qui fait dire qu'il est très difficile de se rendre compte qu'on est dans une matrice, dans une secte. Un peu comme le Sunnisme sheykholâtrique.
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LaPsy a écrit:
5 paragraphes bien distincts, un régal évident.
1. On rencontre...approche le monde (respectif) qui nous entoure et interagit en permanence au vrai/faux dès notre plus jeune âge!
2. Le tout soumis donc aux lois de la physique, la gravité, l inertie, présence/absence de chaleur, force centrifuge, exposition/intensité de lumière, l espace, le temps, ...
3. Place à la communication! L échange d idée.
4. Exemple: convention concernant le courant électrique qui passe du plus au moins. Alors qu en vérité le courant passe du moins au plus selon la dernière découverte. D après les explications, il est impossible aujourd'hui de devoir changer tous les symboles de tout appareils ou instlation ... dans le monde entier ! Lol
5. Ça me fait pensé au personnes daltoniens qui mémorisent le nom d une couleur en rapport à ce qu il voit comme objet, pour eux le rouge par ex, ils diront cet objet vert car pour la majorité c est le vert qui représente cette couleur!
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Blagueur* a écrit:
1) Ce qui est formidable, c'est que même avant de pouvoir parler, l'enfant distingue le vrai du faux qu'il exprime par des gestes ou des mouvement de la tête : hochement acquiesçant, secouement réfutant, comme le bon, la douleur etc...
2) Le tout est soumis aux variations d'énergie : désexcitation de l'atome (niveau haut, niveau bas), émission d'un photon par une source lumineuse, impact et réflexion sur un objet, impact sur la rétine, effet photo-électrique, influx nerveux, perception de l'image, couleur etc. De même pour le volet de l'acoustique/audition (perturbation sonore, onde de variation de pression dans l'air, tympan, marteau de l'oreille moyenne, etc...), particules chimiques pour l'odorat, etc...
Des signaux qui naissent d'une variation d'énergie et sont porteurs d'information en impression et en retour expression ou émissions vocales support de la communication.
3) Communication, implique pour l'individu 1 opérant en source émettrice (expression) : émission/transmission/réception pour l'individu 2 opérant récepteur (impression) et en retour le récepteur devient source à son tour (expression) impliquant le même process pour le signal en retour.
Les signaux échangés (ici vocaux) sont censés porter informations codifiées par le langage, donc codés et censés être accordés relativement à la matrice linguistique propre de l'individu émetteur pour que l'individu récepteur soit en mesure de les décoder selon la matrice linguistique commune et consensuelle admise selon la sienne. Cela implique que l'émetteur comme le récepteur aient le même "bagage", le même référentiel cognitif pour que la portée des informations échangées prennent le même sens de part et d'autre. On oublie souvent ce problème ce qui engendre des divergences autour des interprétations voire des poursuites interminables devant les tribunaux.
La communication gestuelle, la caresse exprime mieux la tendresse maternelle que tous les mots du dictionnaire ...
4) Ils sont fous ces américains ou anglais avec leur conduite à gauche, leur mile, leur inch, foot, yard, once, gallon et pourtant ils se portent économiquement, scientifiquement et technologiquement mieux que l'Europe.
Tout est convention, consensus : langage, lois, lois de comportement ... une adhésion, un produit du mimétisme, de la loi du moindre effort, d'une conviction réfléchie ?
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LaPsy a écrit:
Ca m a l air d être une réponse évidente. Mais si chacun vit dans sur île déserte? Il n y a plus de convention ni aucun compte à rendre à personne lol.
Tant qu 1 personne ou groupes de personnes ne rencontrent pas d autres personnes les informations qu elles gardent, utilisent et propagent sont classées comme étant vraies... jusqu'à ce que!
1. En tombant, il se fait mal. Il retient le fait que tomber fait mal car il le ressent la douleur juste après sa chute. Inconsciemment, il fabrique un lien direct entre tomber + douleur = vrai.
Donc, la prochaine fois qu il retombe il saura qu il se fera mal.
Il rechute -> il a peur, car il pense que ça va faire mal (tomber c est douloureux). Effectivement, ça fait mal.
On va l aider un peu et tenter de lui faire comprendre, par mimétisme par ex justement, qu il faut garder l équilibre quand on met un pied devant l autre. Tenir les mains et tirer pour avancer = garder l équilibre pour ne plus tomber. Tant qu il garde l équilibre il ne tombera pas, et s il ne tombe pas, il ne se fera pas mal.
Après ça, s il tombe par terre et qu il ne se fait pas mal, il rira bêtement ! Confu lol.
merci mille et 2 fois lol, Hey attends attend lol, je posterai demain inncha allah 2 sujets "week-end" comme promis, le second s est accumulé mdr^^ à demain inncha allah Bonne nuit ma chère! Tu me diras quand est ce que tu as vu le soleil pour la première fois de ta vie ET QUE tu as réalisé que c est SÛR que le jour suivant... il sera là intact et idem (il est tard effectivement lol, donc débrouille toi avec la question, j ai fait ce que j ai pu lol). Ca va c est pas sorcier lol! Citation
TachiMum a écrit:
Salam Psy
Je te trouve curieuse
Vraiment.... tu es à part...
Y en a pas 2 comme toi..
Rabbi hafdek
Salam
Ps vu l'heure je ne suis pas en capacité de répondre a ta question
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Blagueur* a écrit:
1) Ce qui est formidable, c'est que même avant de pouvoir parler, l'enfant distingue le vrai du faux qu'il exprime par des gestes ou des mouvement de la tête : hochement acquiesçant, secouement réfutant, comme le bon, la douleur etc...
2) Le tout est soumis aux variations d'énergie : désexcitation de l'atome (niveau haut, niveau bas), émission d'un photon par une source lumineuse, impact et réflexion sur un objet, impact sur la rétine, effet photo-électrique, influx nerveux, perception de l'image, couleur etc. De même pour le volet de l'acoustique/audition (perturbation sonore, onde de variation de pression dans l'air, tympan, marteau de l'oreille moyenne, etc...), particules chimiques pour l'odorat, etc...
Des signaux qui naissent d'une variation d'énergie et sont porteurs d'information en impression et en retour expression ou émissions vocales support de la communication.
3) Communication, implique pour l'individu 1 opérant en source émettrice (expression) : émission/transmission/réception pour l'individu 2 opérant récepteur (impression) et en retour le récepteur devient source à son tour (expression) impliquant le même process pour le signal en retour.
Les signaux échangés (ici vocaux) sont censés porter informations codifiées par le langage, donc codés et censés être accordés relativement à la matrice linguistique propre de l'individu émetteur pour que l'individu récepteur soit en mesure de les décoder selon la matrice linguistique commune et consensuelle admise selon la sienne. Cela implique que l'émetteur comme le récepteur aient le même "bagage", le même référentiel cognitif pour que la portée des informations échangées prennent le même sens de part et d'autre. On oublie souvent ce problème ce qui engendre des divergences autour des interprétations voire des poursuites interminables devant les tribunaux.
La communication gestuelle, la caresse exprime mieux la tendresse maternelle que tous les mots du dictionnaire ...
4) Ils sont fous ces américains ou anglais avec leur conduite à gauche, leur mile, leur inch, foot, yard, once, gallon et pourtant ils se portent économiquement, scientifiquement et technologiquement mieux que l'Europe.
Tout est convention, consensus : langage, lois, lois de comportement ... une adhésion, un produit du mimétisme, de la loi du moindre effort, d'une conviction réfléchie ?
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