Voilà un exemple de problèmatique que la Maison de la Diaspora devrait traiter :
MRE qui vend sa maison au Maroc bien que financée en dirhams convertibles se voit mettre des bâtons dans les roues pour rapatrier son argent en France au contraire des etrangers qui eux rapatrient sans pb leurs avoirs. Ainsi , un MRE doit obtenir une autorisation de l'office des changes qui n'est pas garantie ( arbitraire ) et se voit imposer un rapatriement fractionné sur 4 ans sans compter une fiscalité et un taux de change confiscatoires. Pourquoi cette discrimination? La clef des investissements réussis c'est la garantie de pouvoir rapatrier quand on veut ses avoirs.
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