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HARIBO1 a écrit:
N’empêche que cette lettre a ruinée, toute la politique belliqueuse des Bushistes, preuve qu’il suffit de rien pour les démasquer, et montrer leur vrai visage au monde.
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l'européen a écrit:
le N°1 iranien commence à degrapher un bouton de son pantalon. mais bush n'est pas interressé.
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l'européen a écrit:
le N°1 iranien commence à degrapher un bouton de son pantalon. mais bush n'est pas interressé.
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l'européen a écrit:
le N°1 iranien commence à degrapher un bouton de son pantalon. mais bush n'est pas interressé.
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Donatello a écrit:
Mais sous l'angle strategique, ce sera plutot bush, rumsfeld et rice, et avec eux l'ensemble de la communauté internationnale, vu que l'Iran peut facilement bloquer toute l'economie mondiale, et nous creer pourquoi pas une guerre civile dans chacun de nos pays y compris les plus industrialisés, et ce s'il y avait une petit attaque contre l'Iran.
Suite à cette attque, Ahmedinejad pourrait tres bien en repliquant bloquer de maniere illimité le detroit d'ormuz axe principale pour la circulation du petrole mondialqui represente au moins 15 millions de barils par jours. S'il venait à etre fermé ne serait ce qu'un jours, sans vous parler d'un mois, c'est la crise economique assurée, un baril qui flambera à au moins 150$ voire 200$ ou plus, c'est à dire pour nous consommateur un litre de gazoil à pres de 3€. Les entreprises feront faillite tour à tour.
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l'européen a écrit:
le N°1 iranien commence à degrapher un bouton de son pantalon. mais bush n'est pas interressé.
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Manoushehr-Iranien a écrit:
Contrairement a ce que laisser entendre certains médias brebicho-gauchiste et propagandiste, qui voulait faire croire que l'Iran a courbé le dos en demandant un arrangement avec l'Oncle Sam, c'est qu'ils oublient que la lettre et un gros document dont une grande partie dénonce les connerie de la politique américaine.
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NATIONS UNIES (Reuters) - La lettre du président iranien Mahmoud Ahmadinejad à son homologue américain George Bush est un exposé de géopolitique fustigeant les attitudes interventionistes de la politique étrangère américaine et présentant la recherche scientifique comme l'"un des droits fondamentaux des nations".
Dans ce document de 18 pages, dont Reuters s'est vu communiquer le contenu mardi, Ahmadinejad estime que des valeurs religieuses communes doivent gouverner la vie politique mais il ne propose aucune solution pour régler la crise suscitée par les ambitions nucléaires de la République islamique.
L'Iran affirme qu'il n'enrichit de l'uranium que dans le but de produire de l'électricité mais les pays occidentaux lisent dans son programme nucléaire la volonté de se doter d'armements atomiques.
Le Conseil de sécurité de l'Onu étudie un projet de résolution franco-britannique parrainé par les Etats-Unis exigeant de l'Iran qu'il suspende l'enrichissement de l'uranium mais la Russie et la Chine, qui disposent d'un droit de veto, dénoncent plusieurs points-clés du texte.
La lettre de Téhéran établit des analogies entre l'invasion par les Etats-Unis de l'Irak, en 2003, et les menaces américaines visant l'Iran. Ahmadinejad laisse entendre que Washington a menti pour justifier la guerre en Irak et essuie à présent les conséquences de cette manoeuvre.
"Quant au prétexte des ADM (armes de destruction massive), cette grande tragédie a fini par engloutir aussi bien la population du pays occupé que celle du pays occupant. Plus tard, il s'est avéré que les ADM n'avaient pas existé", écrit Ahmadinejad dans cette missive rédigée en farsi.
"On a dit des mensonges dans le dossier irakien. Quel a été le résultat ? Je ne doute pas que mentir est répréhensible dans n'importe quelle culture, et que vous n'aimez pas que l'on vous mente."
La lettre, reçue lundi par la Maison blanche mais dont le contenu n'a pas été rendu public à Washington, constitue la première tentative de communication d'un président iranien avec son homologue américain depuis la Révolution islamique de 1979.
Washington et Téhéran ont suspendu leurs relations diplomatiques en 1980, après la prise d'otages de l'ambassade des Etats-Unis, où 52 Américains avaient été retenus pendant 444 jours.
reuters