Documentaire diffusé mardi à 20h 35 sur France 5 , durée 52 mn
Casa la blanche, Casa l'active, Casa la capitale économique du Maroc… Une ville face à l'océan Atlantique avec ses commerces, ses entreprises, ses industries. Ici vivent — ou plutôt survivent — Abdel Kader, Adam, Khalil, Aymane, Fayza, Aziz, Salima, Achraf, enfants et adolescents âgés de 8 à 17 ans. Vendus comme personnel de maison par leurs parents, maltraités, battus, abandonnés, ils errent depuis des jours, des mois ou des années dans les rues de la ville, cherchant désespérément de quoi se nourrir, se vêtir, se loger. Ils accostent les automobilistes pour mendier quelques dirhams, vendent aux passants persil ou coquillages, chapardent, trafiquent ou se prostituent. Lorsque la nuit tombe, parce qu'ils n'ont nulle part où se rendre, ils trouvent refuge dans les sous-sols des gares routières et dorment assis sur les sièges inconfortables des salles d'attente.
L’enfance sacrifiée Ils ont appris à se défendre pour éviter les vols ou les viols, mais n'ont pas su, pour la plupart, résister à la tentation de ces drogues qui permettent de tout oublier. « Chaque jour est une nouvelle page blanche, résume Aymane. Moi, je tourne la page. J'efface celle qui raconte mon histoire avec mes parents et j'en prends une neuve. » Dès lors, quelles sont leurs perspectives ? Quel avenir les attend ? Depuis 1995, l'association Bayti se bat pour les réinsérer, offrant aux volontaires le gîte et le couvert, la possibilité d'aller à l'école ou de suivre des stages professionnels. Elle les aide aussi à renouer avec leurs parents afin qu'ils puissent vivre à nouveau avec eux dans de bonnes conditions, affectives et matérielles. Un vrai défi pour les éducateurs. Une chance inespérée pour ces enfants
J'ai vu un reportage sur Tanger qui traite de ce thème(je crois qu'il avait eu un impact réel pour leur prise en charge par le Maroc)j'espère que là aussi...
Le reportage sera diffusé mardi prochain. L'association Bayti a déjà fait parler d'elle lors du film Ali Zaoua. Et pour Tanger, les enfants en question sont des harragas qui tentent de passer en Europe.
Salam J'ai regarder ce reportage,je remercie angelo au passage ALors j'étais contente j'avais une lueur d'espoir qd on a enlever la petite bonne de chez sa patronne,en voyant le juge pour enfant je me suis dis "super sa patronne va payer pour ce qu'elle a fait" zerma ça été loin pour une bonne Et ben non Kenini oualou,du bakchich et encore du bakchich,une bonne restera toujours la petite esclave de service,bref c loin de changer
[b]Puisse Allah nous guider, affermir notre foi en Lui, nous assister dans l'attente d'être mère, nous aider dans notre rôle d'épouse, de gardienne du foyer, de femme, d'éducatrice, de conseillère, de maman, de croyante.[/b]