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Faire ensemble une terre fraternelle
f
6 mai 2013 17:51
Assalam alaikoum

Je mets en partage ce témoignage, cet appel, donné par un prêtre chrétien, le père Christian Delorme, d'amour, de fraternité, de partage, d'entraide.


CHRÉTIENS ET MUSULMANS :
FAIRE ENSEMBLE UNE TERRE FRATERNELLE



Résumé
Islam et christianisme constituent les deux plus grandes religions du monde. L'une et l'autre sont aujourd'hui présentes sur presque toute la surface du globe. Elles sont donc en capacité d'influer sur le présent et sur l'avenir du monde. Le feront-elles séparément et en se montrant concurrentes, voire ennemies, l'une de l'autre? Ou bien chercheront-elles à instaurer entre elles des relations de respect et de coopération? Par le passé, les fidèles des deux grandes religions ont été souvent en conflit. Il en est resté des mémoires blessées. Dès lors, comment peut-il se construire, à l'échelon planétaire, une véritable amitié islamochrétienne, qui soit au service de la paix, de la protection de l'homme et son environnement? C'est un tel chemin que nous essayons ici de dégager, en prenant en compte la pluralité des opinions et des comportements, aussi bien dans le monde chrétien que dans le monde musulman.

« Gloire à Dieu au plus haut des cieux, et paix sur la terre aux hommes qu'Il aime ». Tel était le chant des anges au moment de la naissance de Jésus, d'après le récit donné par l'Évangile selon Saint-Luc (2 : 14). Ce chant s'accorde bien avec l'invocation musulmane « Bismi-llâh al-Rahmân al-Rahîm », Au Nom de Dieu, le Miséricordieux, Celui qui fait miséricorde.
En prenant la parole dans ce Congrès , c'est d'abord une action de grâces que j'ai souhaité formuler, un jaillissement de sentiments de reconnaissance qui s'est échappé de mon cœur : un grand merci à tous mes frères et amis musulmans qui m'ont accueilli comme une frère, moi le prêtre catholique français. Je suis tel un humble pèlerin en quête de Dieu et en quête de ses frères; heureux et bouleversé de m'être rendu sur cette terre de l'Oranie, où le père Pierre Claverie, évêque d'Oran, a donné jusqu'au bout le témoignage de son amour pour l'Algérie et les Algériens.

Vivre toujours plus, toujours mieux l'hospitalité
Plus que tout autre ensemble humain, le monde musulman a cultivé depuis les débuts de l'islam la vertu de l'hospitalité, celle qui a permis à notre père Abraham d'accueillir chez lui les anges de Dieu (Genèse 18 : 1-16; Coran 11 : 69-73 et 51 : 24-36). Cette vertu de l'hospitalité devrait être des vertus cardinales de toutes les sociétés humaines. Parce que tout être humain est porteur, en lui, de la Présence de Dieu, tous les hommes devraient savoir se recevoir comme « hôtes de Dieu ». Remerciant, dans mon cœur, le Seigneur de l'Univers pour votre fraternelle hospitalité, je voudrais rappeler quelques grands moments d'hospitalité qui ont été vécus, dans l'histoire, entre Chrétiens et Musulmans :
- le roi d'Axum, al-Najâshî, accordant en 615 – à Najash, près de Mékélé (province actuelle de Tigré) – l'hospitalité à un groupe de compagnons et de parents du Prophète Muhammad, au temps où la première communauté musulmane était persécutée à la Mecque ;
- le Prophète Muhammad accueillant en délégation à Médine, en 631, un groupe de Chrétiens yéménites, venus de Najrân. Nous avons les détails de cette rencontre, et nous savons qu'il leur a permit de célébrer l'eucharistie dans sa propre mosquée ;
- l'émir Abd el-Kader al-Jazâ'irî sauvant, en 1860, les Chrétiens arabes de Damas menacés d'un massacre, en leur ouvrant notamment les portes de sa demeure ;
- les moines martyrs de Tibhirine, près de Médéa, qui avaient offert à leurs voisins musulmans un espace pour prier – une mosquée – à l'intérieur même de leur monastère.
Il serait utile et juste d'entreprendre l'établissement d'une liste de tous ces moments heureux entre nous, qui font aussi partie de notre histoire commune et de notre présent. En France, les relations d'amitié et les attitudes d'hospitalité qui existent entre Chrétiens et Musulmans sont innombrables, particulièrement dans les quartiers populaires. Qu'il me soit permis, d'ailleurs, d'évoquer rapidement la figure d'une femme très aimée, qui est décédée récemment à l'âge de quatre-vingt cinq ans et à laquelle je ne peux que penser : Yamina Boughalem, épouse Kébaïli. Il y a trente-trois ans, cette femme originaire de l'Oranie (le village de Sidi Mohammed Ben Ali, ex-Renault, pas très loin de Mostaganem) et immigrée à Lyon, mère de onze enfants et veuve, m'a adopté comme un fils. Elle était ma mère algérienne et musulmane, et je lui dois mon engagement dans la recherche de l'amitié entre Chrétiens et Musulmans. Que Dieu l'accueille en Son paradis !

Des histoires qui sont et restent complexes
Le christianisme et l'islam sont des réalités de foi incarnées dans toutes les réalités humaines, à commencer par les contingences politiques. Foi chrétienne et foi musulmane ne se sont pas répandues seulement à travers le témoignage et la prédication, mais aussi à la faveur de la création d'empires et dans le cadre de conquêtes territoriales. Nos mémoires collectives – en particulier celles des peuples arabes – restent douloureusement marquées par le souvenir des conquêtes, des reconquêtes, des croisades, de la colonisation et du néo-colonialisme. Aujourd'hui, d'autres réalités nous séparent et nous blessent : enjeux énergétiques, guerre de l'eau, maintien d'un ordre international injuste qui laisse dans la misère une part importante de l'humanité... Mais ce n'est pas parce que l'Occident, encore trop souvent dominateur, a une histoire chrétienne qu'il faut confondre impérialisme occidental et christianisme. De même, ce n'est parce qu'il y a depuis trente ans un terrorisme international qui se réclame de l'islam, qu'il est permis de confondre terrorisme et islam.
Musulmans et Chrétiens de bonne volonté, nous sommes appelés à lutter ensemble contres toutes les formes de domination, d'humiliation des peuples, d'abaissement des hommes, de mépris de la femme. Notre Congrès international à Mostganem allait dans ce sens. Sois nous changerons ensemble le monde, soit le monde deviendra fou. Et pour avancer de concert, nous devons avoir le souci de trois exigences : purifier nos mémoires, accueillir et transformer le présent, vouloir un avenir commun.
D'abord, purifier nos mémoires. Nous devons revisiter le passé, comprendre les mécanismes qui ont conduit à tant de conflits, de guerres, de malentendus entre Chrétiens et Musulmans. Prendre acte et rejeter pour toujours les crimes, comme les injustices. Mais savoir, aussi, recueillir et mettre en évidence ce qui a été heureux, beau, positif, parfois même au cœur des réalités globalement injustes. Les hommes, en effet, sont capables du mal absolu : nous l'avons vu avec la Shoah ou, plus récemment, avec les massacres de Rowanda et en Bosnie. Mais, la plupart du temps, bien et mal sont entrelacés.
Ensuite, accueillir le présent et savoir le transformer. Il nous faut faire ensemble l'effort de comprendre et d'analyser le monde qui est le nôtre. Ne pas le nier dans ce qu'il est. Un jihâd et un ijtihâd au centre de ce Congrès. Ne pas nous satisfaire du monde tel qu'il est et vouloir sa transformation, implique d'abord que nous ayons l'intelligence de ce qu'il est. Une fois le diagnostic établi, une fois la compréhension acquise de ce qui ne va pas, nous devons savoir nous engager ensemble pour la sauvegarde de la Création, dans des initiatives de paix et d'éducation, ainsi que dans des projets humanitaires et de développement durable.
Vouloir, enfin, un avenir commun. Nous habitons une petite « planète bleue » qui n'est qu'un tout petit point dans l'immense univers. Cette planète montre chaque jour un peu de sa fragilité. À la faveur du développement des moyens de communication (transport et mas media) notre monde est devenu un village planétaire où les hommes sont en relation comme jamais ils ne l'ont été auparavant. Nos économies sont dépendantes, chaque jour davantage, les unes des autres et nos populations, nos cultures, nos fois respectives se côtoient de plus en plus. Il n'est pas d'autre choix que celui de nous entendre et d’œuvrer de concert. Nous vivrons heureux ensemble ou nous périrons ensemble.

Développer une parole commune entre vous et nous
Contre le « choc des civilisations », contre le « choc des ignorances », il nous faut savoir développer une parole et un agir communs. Le 13 octobre 2007, cent-trente-huit représentants de l'islam contemporain ont adressé une lettre aux chefs religieux chrétiens du monde entier. Par cette démarche, ils ont voulu plaider en faveur du développement d'une « parole commune entre nous et vous ». L'expression est tirée du Coran : « Ô gens du Livre, venez-en à une parole commune entre nous et vous : que nous n'adorions que Dieu, sans rien Lui associer, et que parmi nous nul n'en prenne d'autres comme seigneurs en dehors de Dieu. Puis, s'ils tournent le dos, et bien dites : “Soyez témoins que, oui, c'est nous qui sommes les soumis” » (3 : 64). La recherche d'une parole commune doit conduire à un agir commun. Vivre ensemble l'amour de Dieu et l'amour des hommes.
Cette double exigence d'un amour, en actes, de Dieu et de nos frères humains est contenue dans tous les Évangiles et les autres textes du Nouveau Testament. Ainsi lisons-nous dans la Première Lettre de Saint-Jean : « Celui qui dit qu'il aime Dieu et qu'il hait son frère est un menteur » (4 : 20-21). Et encore : « Celui qui a de quoi vivre en ce monde, s'il voit son frère dans le besoin sans se laisser attendrir, comment l'amour de Dieu pourrait-il demeurer en lui ? » (3 : 17).
En islam, un hadith prophétique, cité par la « lettre des cent trente-huit », dit de façon très semblable : « Les humains sont la famille de Dieu. Celui qui est plus aimé de Dieu est celui qui est plus utile à sa famille ».
Au long des siècles, nous avons trop cru que, Chrétiens et Musulmans, nous pouvions aimer Dieu et aimer nos frères de façons séparées, sans nous aimer les uns les autres. Cela doit désormais changer. Contre toutes les forces de mort qui sont à l’œuvre dans le monde, apprenons à faire triompher, ensemble, les forces de vie. Ensemble, nous devons savoir défendre l'homme , son intégrité, sa liberté, son droit à la vie et au développement.
En réponse à la « lettre des cent trente-huit », s'est déroulé à Rome, en novembre 2008, le « Premier séminaire catholico-musulman sur l'amour de Dieu et du prochain ». Il a réuni des dignitaires et des experts catholiques et musulmans pendant trois jours. À l'issue de cette rencontre, une déclaration finale conjointe a été adoptée. Voici en extrait les articles 9, 10 et 11 :
« Nous reconnaissons que la création de Dieu, dans sa pluralité de cultures, de civilisations, de langues et de peuples est une source de richesse et ne doit par conséquent jamais devenir une source de conflit.
« Nous sommes convaincus que catholiques et musulmans ont le devoir de pourvoir à une solide éducation de leurs membres respectifs dans les valeurs humaines, civiques, religieuses et morales, et de promouvoir une information exacte sur la religion des autres.
« Nous professons que catholiques et musulmans sont appelés à être des instruments d'amour et d'harmonie parmi les croyants, et pour l'humanité entière, en renonçant à toute oppression, toute violence agressive, tout terrorisme, spécialement lorsqu'il est commis au nom de la religion, et en mettant en avant le principe de la justice pour tous. »

Parvenir à une spiritualité commune ?
Pouvons-nous aller jusqu'à la création d'une spiritualité commune ? Je crois cela possible. Judaïsme, christianisme et islam proviennent de la même « matrice », de la même aire de civilisation, le monde du Proche-Orient et de la Méditerranée, celui où s'est faite entendre et a été reçue une parole venant de Dieu. Même si nous le connaissons différemment, c'est bien ce même Dieu à l'origine de tout, le Dieu qui intervient dans l'histoire, auquel nous nous adressons et auquel nous faisons confiance. Sachons accueillir le mystère de la relation particulière que chacun, le Juif, le Chrétien, le Musulman, entretient avec ce Dieu unique.
Cessons d'opposer nos Écritures Saintes malgré les contradictions qu'elles peuvent laisser paraître. Il y a une seule Parole éternelle de Dieu qui se reçoit (peut-être se décline?) de mille façons différentes. Une seule Parole éternelle de Dieu qui se donne à entendre dans mille échos aux différentes résonances. Au temps du mépris, substituons le temps du respect ! Ne nous privons pas du bonheur de goûter ce que chacun accueille comme étant Parole de Dieu ! Lisons ensemble nos Écritures, apprenons à les découvrir et à les aimer. L'émir Abd el-Kâder lisait la Bible dans sa version arabe. Le cheikh Ahmad al-'Alâwî étudiait les Évangiles. Le frère Christian de Chergé, prieur de Tibhirine, lisait le Coran et sa prière s'en nourrissait. Je ne veux pas me priver de citer, d'ailleurs, ces quelques lignes écrites par Christian de Chergé en 1981 et publiés par la revue « Tychique » :
« La louange monastique et la prière musulmane que je veux apprendre à célébrer davantage, sous le regard de Celui-là qui, Seul, appelle à la prière, et qui nous demande sans doute, mystérieusement, d'être ensemble « le sel de la terre ». De plus, certaines valeurs religieuses de l'islam sont un stimulant indéniable pour le moins, dans la ligne même de sa vocation . Il en est ainsi du don de soi à l'Absolu de Dieu, de la prière régulière, du jeûne, de la soumission à la Parole, du pèlerinage, de l'aumône, de la conversion du cœur, de la confiance en la Providence, de l'hospitalité. »
Pour vivre et œuvrer ensemble, il nous est nécessaire d'apprendre à vivre notre foi de manière ouverte. L'amour, en effet, ne peut se laisser emprisonner dans des systèmes dogmatiques clos et abstraits. La vie, c'est toujours le mouvement, l'adaptation. Et je ne saurais oublier que les moines de Tibhirine et la Tarîqa 'Alâwiyya avaient crée le Ribât al-salâm, le « Lien de la paix », qui leur permettait de réfléchir et de prier ensemble. Un exemple à revivifier et à multiplier.
6 mai 2013 21:48
Citation
faqir a écrit:


Parvenir à une spiritualité commune ?
Pouvons-nous aller jusqu'à la création d'une spiritualité commune ? Je crois cela possible. Judaïsme, christianisme et islam proviennent de la même « matrice », de la même aire de civilisation, le monde du Proche-Orient et de la Méditerranée, celui où s'est faite entendre et a été reçue une parole venant de Dieu. Même si nous le connaissons différemment, c'est bien ce même Dieu à l'origine de tout, le Dieu qui intervient dans l'histoire, auquel nous nous adressons et auquel nous faisons confiance. Sachons accueillir le mystère de la relation particulière que chacun, le Juif, le Chrétien, le Musulman, entretient avec ce Dieu unique.
Cessons d'opposer nos Écritures Saintes malgré les contradictions qu'elles peuvent laisser paraître. Il y a une seule Parole éternelle de Dieu qui se reçoit (peut-être se décline?) de mille façons différentes. Une seule Parole éternelle de Dieu qui se donne à entendre dans mille échos aux différentes résonances. Au temps du mépris, substituons le temps du respect ! Ne nous privons pas du bonheur de goûter ce que chacun accueille comme étant Parole de Dieu ! Lisons ensemble nos Écritures, apprenons à les découvrir et à les aimer. L'émir Abd el-Kâder lisait la Bible dans sa version arabe. Le cheikh Ahmad al-'Alâwî étudiait les Évangiles. Le frère Christian de Chergé, prieur de Tibhirine, lisait le Coran et sa prière s'en nourrissait. Je ne veux pas me priver de citer, d'ailleurs, ces quelques lignes écrites par Christian de Chergé en 1981 et publiés par la revue « Tychique » :
« La louange monastique et la prière musulmane que je veux apprendre à célébrer davantage, sous le regard de Celui-là qui, Seul, appelle à la prière, et qui nous demande sans doute, mystérieusement, d'être ensemble « le sel de la terre ». De plus, certaines valeurs religieuses de l'islam sont un stimulant indéniable pour le moins, dans la ligne même de sa vocation . Il en est ainsi du don de soi à l'Absolu de Dieu, de la prière régulière, du jeûne, de la soumission à la Parole, du pèlerinage, de l'aumône, de la conversion du cœur, de la confiance en la Providence, de l'hospitalité. »
Pour vivre et œuvrer ensemble, il nous est nécessaire d'apprendre à vivre notre foi de manière ouverte. L'amour, en effet, ne peut se laisser emprisonner dans des systèmes dogmatiques clos et abstraits. La vie, c'est toujours le mouvement, l'adaptation. Et je ne saurais oublier que les moines de Tibhirine et la Tarîqa 'Alâwiyya avaient crée le Ribât al-salâm, le « Lien de la paix », qui leur permettait de réfléchir et de prier ensemble. Un exemple à revivifier et à multiplier.



assalam alaikum

C Delorme se contenter de l'amour de Dieu, et le sentiment
pour résoudre le problème lier au Tawhid



C Delorme
--Cessons d'opposer nos Écritures Saintes malgré les contradictions qu'elles peuvent laisser paraître. Il y a une seule Parole éternelle de Dieu qui se reçoit (peut-être se décline?) de mille façons différentes.

Réponse:
--L'homme est certes, en perdition,
--sauf ceux qui croient et accomplissent les bonnes œuvres, s'enjoignent mutuellement [à diffuser] la vérité et s'enjoignent mutuellement l'endurance.


les musulmans sont inviter de s'entraider a la vérité, dénoncer le faux.et appeler les non musulmans a l'islam avec sagesse.
--Nous sommes obliger d'avertir les gens du polythéisme (la trinite)


Au nom d´Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
Par le Temps !
L'homme est certes, en perdition,
sauf ceux qui croient et accomplissent les bonnes oeuvres, s'enjoignent mutuellement [à diffuser] la vérité et s'enjoignent mutuellement l'endurance.

C Delorme cherche a s'appuyer sur le point commun, en citant le verset qui s'oppose a sa conception,
Développer une parole commune entre vous et nous
Coran :
« Ô gens du Livre, venez-en à une parole commune entre nous et vous : que nous n'adorions que Dieu, sans rien Lui associer, et que parmi nous nul n'en prenne d'autres comme seigneurs en dehors de Dieu. Puis, s'ils tournent le dos, et bien dites : “Soyez témoins que, oui, c'est nous qui sommes les soumis (3 : 64).
La recherche d'une parole commune doit conduire à un agir commun. Vivre ensemble l'amour de Dieu et l'amour des hommes.

Reponse:
la parole commun en question est le Tawhid, Adorer Allah sans lui associer,
--- la trinité, s'oppose, a une parole commune entre les musulmans et les chrétien, ainsi donc ISSA est venu avec le Tawhid tout comme Mousaa paix sur eux.

tout dialogue entre les gens du livre et les musulmans qui n'est pas établit sur Tawhid, est une dialogue sans issue. il y a rien de profitable.
-- Parce que cela revient a se réunir dans des sujet commun et mettre de cote notre divergence, le tawhid.
--c'est a dire, laisser nous adorer nos dieux comme nous entendons, tout les religion se valent .

.Allahu alam

.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 06/05/13 22:35 par rosiles.
f
7 mai 2013 11:20
Assalam alaikoum

On ne peut nier les divergences importantes, et même fondamentales, surtout en ce qui se relate à l'Unicité, au Tawhîd, entre musulmans et chrétiens, mais ceci ne nous empêche pas de nous ouvrir les uns sur les autres, pour que nous puissions aller au-delà de nos oppositions, pour une vision plus positive, et une attitude plus contructive, ce qui est le sens de ce témoignage vivant.
7 mai 2013 13:13
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

On ne peut nier les divergences importantes, et même fondamentales, surtout en ce qui se relate à l'Unicité, au Tawhîd, entre musulmans et chrétiens, mais ceci ne nous empêche pas de nous ouvrir les uns sur les autres, pour que nous puissions aller au-delà de nos oppositions, pour une vision plus positive, et une attitude plus contructive, ce qui est le sens de ce témoignage vivant.

assalam alaikum


ton article, en apparence acceptable, au fond il est inacceptable.
j'ai souligner l'intrus avec la permission d Allah, .



l'ouverture a toujours existe, entre les musulmans et les gens du livres,
-- 'islam recommande d'avoir une bonne entente avec les gens, que ce sois musulmans ou mécréant. le bon voisinage, concerne tout le monde.. que veux tu de plus,

-- Ton article demande plus que le droit humains

c'est inacceptable.


tu as tort de publier un article, qui demande plus. que le droit humain.
-- je suis désoler mais quant un mouslim relaye ce genre d'article, c'est qu'il a un problème, il a des ambiguïtés dans sa position de comprendre sa religion.( dans le TAWHID)

L'article du Delorme repose sur: --Cessons d'opposer nos Écritures Saintes malgré les contradictions
Delorme nous INVITE a de délaisser les critiques détailler prouver et la mise en garde contre la croyance des gens du livre,le polythéisme et l'appel a l'islam, ça c'est inacceptable, ce sera la fin de l'islam.

ouvre tes yeux,
en dehors du droit humains, religieusement la porte est fermer pour les non musulman, tu n'a pas l'air de comprendre, la gravite de ce que tu publie.
celui qui veux ouvrir cette porte trouvera les gens de la sounna sur son chemin, car il s'aventure sur un terrain ténébreux, qui ne repose que sur ses passion
.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 07/05/13 21:00 par rosiles.
f
7 mai 2013 22:35
Assalam alaikoum

Le Coran lui-même nous demande d'appeler les gens du Livre à une parole commune, qui est celle de l'Unicité (ce qui est cité dans ce témoignage):

« Ô gens du Livre, venez-en à une parole commune entre nous et vous : que nous n'adorions que Dieu, sans rien Lui associer, et que parmi nous nul n'en prenne d'autres comme seigneurs en dehors de Dieu. Puis, s'ils tournent le dos, et bien dites : “Soyez témoins que, oui, c'est nous qui sommes les soumis” » (3 : 64)

Et l'Unicité étant le contenu de tout message, que ce soit biblique, évangélique, coranique, et c'est en ce sens qu'on peut comprendre cet appel de « cesser d'opposer nos Écritures Saintes malgré les contradictions qu'elles peuvent laisser paraître », car ces contradictions ne sont qu'apparentes, dues aux interprétations et aux conceptions humaines, et non effectives, et c'est dans cette ouverture, et non fermeture, d'esprit, que la vérité peut le mieux se concevoir, se percevoir, sans contrainte, sans oppression, et l'islam étant la religion de la vérité par excellence, il est la religion de l'Unicité, et dans ce sens il n'y a pas de peur sur lui. Cessons de croire, sous une forme ou une autre, que l'islam nous appartient, il est la religion de Dieu.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 07/05/13 22:54 par faqir.
9 mai 2013 06:42
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Le Coran lui-même nous demande d'appeler les gens du Livre à une parole commune, qui est celle de l'Unicité (ce qui est cité dans ce témoignage):

« Ô gens du Livre, venez-en à une parole commune entre nous et vous : que nous n'adorions que Dieu, sans rien Lui associer, et que parmi nous nul n'en prenne d'autres comme seigneurs en dehors de Dieu. Puis, s'ils tournent le dos, et bien dites : “Soyez témoins que, oui, c'est nous qui sommes les soumis” » (3 : 64)

Et l'Unicité étant le contenu de tout message, que ce soit biblique, évangélique, coranique, et c'est en ce sens qu'on peut comprendre cet appel de « cesser d'opposer nos Écritures Saintes malgré les contradictions qu'elles peuvent laisser paraître », car ces contradictions ne sont qu'apparentes, dues aux interprétations et aux conceptions humaines, et non effectives, et c'est dans cette ouverture, et non fermeture, d'esprit, que la vérité peut le mieux se concevoir, se percevoir, sans contrainte, sans oppression, et l'islam étant la religion de la vérité par excellence, il est la religion de l'Unicité, et dans ce sens il n'y a pas de peur sur lui. Cessons de croire, sous une forme ou une autre, que l'islam nous appartient, il est la religion de Dieu.

assalam alaikum


tu as vraiment de gros problème comme Delorme DANS LA CROYANCE, tu poste un article que tu ne comprend pas, qui invite les musulmans a delaiser le fondement de leur religion .
tu interpreter la position de l'ennemie d'Allah Delorme , son koufr pour qu'il sois en realtion avec l'islam .

certes l'islam est la religion d Allah , pour les musulmans, il appartient donc aux musulmans, nous somme le gardien, par la permission d Allah, sache le bien, contre les intrus,
--c'est l'islam qui fixe la règle s'il doit avoir une dialogue religieux, non pas aux mécréant et aux hypocrite. qui essai de nous faire croire que les deux religion se valent.

tu devrais avoir honte, d’interpréter le propos de ton cheikh Delorme.en miniMisant son koufr , malheureusement , vous les soufis
vous avez un faible envers les koufr des gens du livre,. vous avez du mal admettre que ce sont des mécréant, alors que tout les preuve sont contre eux.

tu es un danger pour toi meme et pour les autre , tu ne cesse pas de ramener des ambiguïté, s'opposant aux base de l'islam
--desoler mais tu me trouvera sur ton chemin, je ne peu pas te laisser répandre des idéologie contraire a l'islam, sans riposter, afin que ceux qui nous lit sois avertit


UN Sheykh Soufi Al-Jili Défend les Chrétiens !! comme faqir , voila un etrait:


‘Issa (Jésus) dira en réponse : « Je ne leur ai dit que ce Tu m'avais commandé [de dire] » (Al-Mâ'idah : 117) comme excuse pour sa communauté, c'est-à-dire :
« Tu es Celui qui leur a envoyé cette parole dont le début était « Au nom du père, de la mère et du fils »,
quand Ta parole leur est parvenu, ils l'ont comprise dans le sens apparent, ne les blâme pas pour cela car ils suivent ce qu'ils savent de Ta parole, et leur Shirk était donc la source/l'essence (Ayn) du Tawhîd, parce qu'ils se sont fondés sur la connaissance qu'ils détenaient des informations divines. Leur exemple est l'exemple du Mujtahid qui fait l'ijtihâd, se trompe, et obtient une récompense pour son ijtihad.

‘Issa (‘aleyhis-salâm) a donc cherché à trouver une excuse pour son peuple dans la réponse qu'il a fait à Al-Haqq quand Celui-ci lui a demandé : « Ô ‘Issa, fils de Marie, est-ce toi qui as dit aux gens : ‹Prenez-moi, ainsi que ma mère, pour deux divinités en dehors d'Allah ?› Il dira : ‹Gloire et pureté à Toi ! Il ne m'appartient pas de déclarer ce que je n'ai pas le droit de dire ! Si je l'avais dit, Tu l'aurais su, certes. Tu sais ce qu'il y a en moi, et je ne sais pas ce qu'il y a en Toi. Tu es, en vérité, le grand connaisseur de tout ce qui est inconnu.› » (Al-Mâ'idah : 116)
Source : Al-Insân ul-Kâmil (éd. Dâr ul-Kutub ‘Ilmiyyah)

DEUX POINT A RETENIR

1) Al-Jili dit que le shirk des chrétiens était l'essence du Tawhîd !

2) Que leur erreur (aux chrétiens) est comme l'erreur du mujtahid qui fait un ijtihâd et se trompe et qui a alors une bonne récompense malgré son erreur.

faqir relaye exactement le même ambiguïté, meme s'il te vois adorer une vache, il ne condamne pas, mais il va trouve une excuse, pour qu'il sois en relation avec l'islam. c'est ca le SOUFISME
--- c'est la preuve qu'ils ne savent pas ce que c'est etre un musulman, et qu'est ce que le Tawhid.
.
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Modifié 1 fois. Dernière modification le 16/05/13 06:25 par rosiles.
f
9 mai 2013 15:32
Assalam alaikoum

Il y a ceux qui veulent s'emparer de l'islam, parler en son nom, jugeant, faisant le takfîr, même des musulmans, et le résultat on le voit aujourd'hui, de plus en plus de conflit et de division. Parlant du Tawhîd, alors qu'étant en fait loin de sa réalité, de son sens, car le tawhîd signifie l'unité et le rapprochement, et non la division et le conflit.
f
16 mai 2013 00:51
Assalam alaikoum

Mettant cet appel et ce rappel, de cheikh Khaled Bentounès, à l'occasion d'un colloque organisé à Genève, toujours dans cette même perspective, d'ouverture, de rapport, de rencontre.




… Dans ce rapport entre l'orient et l'occident, et dans ce que l'islam – d'occident – peut apporter à la société européenne. L'essentiel (de ce colloque) c'est de débattre avec la société, cette société plurielle, européenne aujourd'hui, et de montrer que l'islam aujourd'hui est une composante de l'Europe. Ce n'est pas une communauté à part, ce n'est pas des citoyens à part, mais c'est des citoyens à part entière. Ils amènent à l'Europe, cette dimension, cette dimension spirituelle, cet héritage millénaire, qui permet à la société humaine aujourd'hui, par sa pluralité, par son acceptation, de l'un l'autre, par l'altérité, par la découverte des richesses des uns et des autres, de pouvoir envisager un vivre ensemble et de construire un avenir pour leurs enfants et leurs petits enfants.

L'histoire, le destin a voulu que, aujourd'hui l'Europe devient multiconfessionnelle et il y a un sens dans l'histoire, si nous savons tirer partie des leçons du passé et pouvoir imaginer une société vivant l'universel, une société riche, en harmonie, pour contribuer à faire immerger une humanité qui est en train de naître sous nos yeux, et de lui assurer la paix, la fraternité, la solidarité, l'entraide, et d'être fidèle aussi à tous ceux qui se sont battus pour la liberté, de ceux qui se sont battus pour la fraternité, de ceux et celles qui se sont battus pour l'égalité des hommes.

Nous avons un devoir aujourd'hui de faire connaître ce message de l'islam, ce message de paix, ce message d'humanité. C'est aux musulmans aujourd'hui, à ceux qui se sont longtemps tu, à cette majorité qui ne parle pas, à cette majorité silencieuse, de montrer quel est l'islam qui habite leurs cœurs, est-il un islam, disons, de façade, qui se réfère à des coutumes, et à des traditions, ou a-t-il un autre message beaucoup plus profond, beaucoup plus humaniste, beaucoup plus fraternel, à faire communiquer au reste du monde. Nous savons tous que l'image de l'islam en Europe est déplorable, et même dans le monde, depuis le 11 septembre, les attentats du 11 septembre. Il y a à travers le monde une désinformation sur l'islam, que seuls les musulmans, et leurs amis, des autres religions, et même ceux qui ne pratiquent aucune religion, mais qui sont sincères, ceux qui souhaitent que l'humanité puisse trouver la paix et la sérénité, à nous tous de construire une autre image de ce monde, et en même temps de réhabiliter la vérité sur l'islam, de réhabiliter le message qu'il a apporté à l'humanité, depuis des siècles, l'Andalousie, huit siècles de vie commune entre musulmans, juifs, chrétiens, a prouvé déjà dans le passé qu'il était possible de vivre ensemble, qu'il était possible de construire une civilisation ensemble. Récemment, la colonisation a permis aussi à l'Orient et à l'Occident de cohabiter, depuis que Napoléon III a envahi l’Égypte, depuis la colonisation de l'Algérie en 1830, et plus tard la Tunisie, le Maroc, l'Afrique de l'Ouest, de l'Est, et le reste du monde. Par le colonialisme français et anglais, l'Europe ou l'Occident a vécu en pieu de ces peuples, il a découvert leurs richesses, il a pu voir leurs cultures, mais il nous manquait quelque chose d'autre, la communication n'était pas à part égale, c'était dominant et dominé.
Aujourd'hui dans un monde d'égalité, égalité des chances, égalité d'être, dans un monde qui proclame les droits universels de l'homme, et de la femme, nous devons comprendre que les musulmans sont une composante de cette Europe. Plus de 25 millions de musulmans vivent en Europe, et les enfants et les petits enfants de ces musulmans n'ont nulle autre terre que cette terre d'Europe, où ils sont nés, où ils ont reçu leur éducation. C'est des citoyens, c'est des citoyens français, c'est des citoyens belges, c'est des citoyens hollandais, c'est des citoyens suisses, et il faut les intégrer, les accepter, et non les marginaliser, dans ce qu'ils ont, et aux musulmans eux-mêmes de sortir du gueto du communautarisme, pour être pleinement responsables, une responsabilité partagée, une responsabilité citoyenne, pour s'en réclamer, et vivre dans cette société, en apportant tout ce qu'ils ont de meilleur en eux, pour servir la société dans laquelle ils vivent.

Voilà ce que ce message, cette rencontre (colloque) va essayer de traiter, avec des personnalités, des politiques, des religieux, des philosophes, et en même temps, mettre en relief les défis qui attendent l'humanité d'aujourd'hui et de demain, les défis climatiques, les défis civilisationnels, cette absence de sens, cette absence d'âme à une modernité, qui nous ronge de l'intérieur, à un consumérisme qui nous vide de plus en plus, du sens qu'est la vie. Merci à tous ceux et celles qui nous rejoindront (dans ce colloque et dans cet appel) pour prouver que cet islam existe et que les musulmans sont prêts à débattre avec la société dans laquelle ils vivent, de montrer que leur message est un message de paix, d'humanité, de fraternité, un dialogue ouvert vers l'avenir, porteur d’espérance et d'avenir, pour eux et leurs enfants.
P
16 mai 2013 04:26
Salam aleykoum,

S'il te plaît faqir,cesse de propager ton idéologie contraire a l'Islam.
Je partage l'opinion de Rosiles et je pense comme elle.
Cesse de polluer cette section du forum avec tes idées incongrues.
J'espère que les personnes qui liront le post de faqir n'en prendront pas compte.

Aleykoum salam.
16 mai 2013 07:58
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Il y a ceux qui veulent s'emparer de l'islam, parler en son nom, jugeant, faisant le takfîr, même des musulmans, et le résultat on le voit aujourd'hui, de plus en plus de conflit et de division. Parlant du Tawhîd, alors qu'étant en fait loin de sa réalité, de son sens, car le tawhîd signifie l'unité et le rapprochement, et non la division et le conflit.




faqir le soufi de yabi fait la promotion du christianisme

il dit: car le tawhîd signifie l'unité et le rapprochement,


Et quiconque désire une religion autre que l'Islam, ne sera point agrée, et il sera, dans l'au-delà, parmi les perdants


qui est plus menteur que celui qui parle d Allah sans science , pour faqir tawhid signifie unité avec les chretiens,

-- il grignote le terrain, faire passer les christianisme comme une religion orthodoxe en minimisant leur koufr , il lui restera plus que l'autre étape, a dire sans gène qu'ils sont aussi musulmans que les musulmans,

pour faqir exclure les chretien de tawhid c'est s'emparer de l'islam, un vrais majnoun

---son ignorance de sa religion est tellement profond qu"il donne l'impression d'etre un vendu, au service de Pape, pour tromper les musulmans,

tout comme le juifs Abdallah ibn Saba pour le détruire de l’intérieur l'islam il s'est converti, a l’époque de 4em calif, et qui a réussir son coup dailleurs, c'est le fondateur du shiite rawafid,

si nous revenons a l'histoire de colonisation, les francais se sont appuyer sur le soufisme de faqir pour mieux s'assoir aux Maghreb,
c'est secte très naif, a leur yeux tout les religion se valent, les occident s'appuie sur eux pour detruire l'islam

,
f
16 mai 2013 11:13
Citation
thunderkat a écrit:
Salam aleykoum,

S'il te plaît faqir,cesse de propager ton idéologie contraire a l'Islam.
Je partage l'opinion de Rosiles et je pense comme elle.
Cesse de polluer cette section du forum avec tes idées incongrues.
J'espère que les personnes qui liront le post de faqir n'en prendront pas compte.

Aleykoum salam.


Assalam alaikoum

Pour toi, appeler à l'ouverture, à la rencontre, au rapport, à ce qui unifie les hommes comme valeurs universelles, telle l'égalité, la fraternité, le partage, l'entraide, et ce indépendamment de leur appartenance, religieuse, culturelle, ethnique, ce serait de la pollution, alors qu'en dirais-tu de ce verset coranique illustrant tout ceci :

« Ô hommes ! Nous vous avons créés d’un mâle et d’une femelle, et Nous avons fait de vous des nations et des tribus, pour que vous vous entre-connaissiez. Le plus noble d’entre vous, auprès d’Allah, est le plus pieux. Allah est certes Omniscient et Grand Connaisseur. »
 
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