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Vittoria a écrit:
Alors on danse ...
C'est ça qui est génial avec l'écriture : on peut transformer de sombres histoires lugubres en quelque chose de joli parfois 😊.
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adbb a écrit:
je suis d'accord, la plume est une baguette magique qui peut transformer des vérités observées ou vécues en des histoires captivantes, si c'est bien fait..
et ça concerne même les oeuvres fictives
par exemple, Tolkien a puisé son inspiration dans toutes les tragédies qu'il a vécu, comme le contexte de guerre avec la guerre mondiale, la perte progressive de tous ses proches, pour nourrir son imagination et créer une allégorie fictive...
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Vittoria a écrit:
Je suis toujours restée béate sur le parcours de Tolkien.
Il à connu l'horreur de la guerre et à trouver une échappatoire dans l'écriture 🥺.
Je suis admirative qu'il ne se soit jamais perdu dans son monde imaginaire qui était si vaste !
Le mec à quand même inventé des pays, créé leurs propres cartes, des langues, des alphabets ect....
C'est fou quand on y pense 😱.
Ma conteuse c'est un peu de moi qui flippe quand je m'enflamme trop dans mon monde imaginaire. Quand je suis prise dans une histoire que j'invente j'ai un peu de mal à revenir dans la réalité 😅.
À un moment je me faisais des sessions d'écriture après le Fajr quand tout le monde dormait encore, ça ne m'a pas réussi car je restais dans mes histoires.
Et pour en revenir à ton texte il me fait penser à "Samedi soir sur la terre" de Francis Cabrel.
J'y vois la même idée de sublimer ou mettre en poésie quelque chose qui n'est pas beau à la base 😉.
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Vittoria a écrit:
Je suis toujours restée béate sur le parcours de Tolkien.
Il à connu l'horreur de la guerre et à trouver une échappatoire dans l'écriture 🥺.
Je suis admirative qu'il ne se soit jamais perdu dans son monde imaginaire qui était si vaste !
Le mec à quand même inventé des pays, créé leurs propres cartes, des langues, des alphabets ect....
C'est fou quand on y pense 😱.
Ma conteuse c'est un peu de moi qui flippe quand je m'enflamme trop dans mon monde imaginaire. Quand je suis prise dans une histoire que j'invente j'ai un peu de mal à revenir dans la réalité 😅.
À un moment je me faisais des sessions d'écriture après le Fajr quand tout le monde dormait encore, ça ne m'a pas réussi car je restais dans mes histoires.
Et pour en revenir à ton texte il me fait penser à "Samedi soir sur la terre" de Francis Cabrel.
J'y vois la même idée de sublimer ou mettre en poésie quelque chose qui n'est pas beau à la base 😉.
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adbb a écrit:
L'avantage c'est que ça te permet de sortir de ton quotidien et de pas être trop affecté par les tracas de la vie, c'est ta façon à toi d'observer les poissons rouges pour te vider la tête (technique des chinois, c'est pour ça qu'ils ont plein de poissons chez eux )..
mais quand tu dis que parfois tu y restes, ça veut dire quoi? tes pensées sont trop préoccupées à t'imaginer une suite à l'histoire donc tu y penses souvent comme une obsession ? ou carrément tu t'imagines vivre dans ce monde que tu as créé comme si c'était un rêve dans une réalité?
C'est cool que tu aimes écrire des histoires, pourquoi ne pas les partager plus souvent comme celui de la conteuse, l'histoire était vraiment cool ..on veut savoir ce que le roi va faire d'elle, va t'elle faire une shéhérazade..
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adbb a écrit:
je viens de lire les paroles de la musique de francis cabrel, et les paroles sont bien trouvées, ça se lit comme une histoire, je connaissais pas, merci pour le partage
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Vittoria a écrit:
Je suis toujours restée béate sur le parcours de Tolkien.
Il à connu l'horreur de la guerre et à trouver une échappatoire dans l'écriture 🥺.
Je suis admirative qu'il ne se soit jamais perdu dans son monde imaginaire qui était si vaste !
Le mec à quand même inventé des pays, créé leurs propres cartes, des langues, des alphabets ect....
C'est fou quand on y pense 😱.
Ma conteuse c'est un peu de moi qui flippe quand je m'enflamme trop dans mon monde imaginaire. Quand je suis prise dans une histoire que j'invente j'ai un peu de mal à revenir dans la réalité 😅.
À un moment je me faisais des sessions d'écriture après le Fajr quand tout le monde dormait encore, ça ne m'a pas réussi car je restais dans mes histoires.
Et pour en revenir à ton texte il me fait penser à "Samedi soir sur la terre" de Francis Cabrel.
J'y vois la même idée de sublimer ou mettre en poésie quelque chose qui n'est pas beau à la base 😉.
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Vittoria a écrit:
Si tu crois qu'avoir des poissons rouges c'est la tranquillité, il faut que je nare ici la fois où le mien à voulu se faire "Hara Kiri", un sacré coup de stress 😂😂!
La conteuse ne finira pas comme Shérazade non, il faut que je clôture cette histoire rapidement histoire de passer à autre chose.
Et pour l'écriture le matin j'ai vite arrêté car j'avais du mal à "redescendre" pour me concentrer sur mes tâches quotidiennes de début de journée.
J'y pensais beaucoup, je réfléchissais à des suites, des options, des péripéties, bref mon esprit bloquait et du coup difficile de se concentrer sur le reste.
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enicnaY a écrit:
En parlant de l'horreur de la guerre, voici un excellent réquisitoire contre l’Empire tyrannique qui nous absorbe progressivement
par Caitlin Johnstone
Bienvenue dans l’empire dont les bombes sont humanitaires et les provocations invisibles.
Bienvenue dans l’empire.
Où le génocide est de la légitime Défense et les ralliements à la paix sont des génocides.
Où les criminels de guerre sont les victimes et les hôpitaux sont le Hamas.
Où les appels à la liberté sont haineux et les cessez-le-feu antisémites.
Où les civils sont traités de terroristes et les vrais terroristes reçoivent des prix Nobel de la paix.
Où la propagande est du journalisme et le journalisme de la propagande.
Où la démocratie est réelle et l’apartheid imaginaire.
Où les entreprises sont des personnes et les personnes sont des ressources pour les entreprises.
Bienvenue dans l’empire.
Dont les bombes sont humanitaires et les provocations invisibles.
Dont les vétérans sont des héros et les victimes sont oubliées.
Dont les guerres sont toujours justes et dont les ennemis sont toujours Hitler.
Dont la cause est toujours juste et dont les critiques sont toujours russes.
Dont les souffrances sont impardonnables et dont les crimes sont effacés de l’histoire.
Dont les atrocités sont toujours un accident malheureux et dont les ennemis tuent des civils pour le plaisir.
Dont les interventions désastreuses sont toujours des erreurs innocentes, quelle que soit leur fréquence.
Bienvenue dans l’empire.
[caitlinjohnstone.com.au]
Toujours victime d’attaques non provoquées de la part des peuples qu’il étrangle.
Toujours la ville brillante sur une colline de cadavres humains.
Toujours le défenseur des pauvres ploutocrates impuissants de Wall Street.
Le sauveur des familles incinérées par les missiles fabriqués par Raytheon.
Le protecteur des ressources naturelles du sol des pays étrangers.
Le défenseur de l’ordre fondé sur des règles d’un monde qui a une botte sur la gorge.
L’empire t’aime d’un cœur fait de dollars et de pétrole.
L’empire te surveille à travers ton smartphone et ton ordinateur.
L’empire est ton seul ami.
L’empire est le seul qui t’aimera.
Tu ne peux pas partir.
Tu ne peux pas te débarrasser de l’empire.
Si tu te débarrasses de l’empire, ce monde pourrait être repris par des tyrans.
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adbb a écrit:
le pauvre poisson rouge, il veut sa liberté, go toilettes et tire la chasse d'eau
je comprend ça peut vite devenir obsessionnelle de trouver une suite à une histoire mais c'est quand même assez stimulant surtout pour celles qui travaillent dans les champs
je t'aurai bien aider à trouver une suite mais là comme ça j'ai pas trop d'idée..
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adbb a écrit:
Il était une fois une danseuse, Éliane, dont le cœur s'embrasait,
Sur la piste de l'amour, elle tourbillonnait, émotions enlacées.
Chaque pas, chaque tourbillon, une émotion intense,
Dans ce tourbillon d'amour, elle virevoltait, en transe.
Dans son passé, Éliane, enfant rêveuse, observait les danses,
Tourbillons de rires, valses enchanteresses, une romance immense.
Elle rêvait de vivre ces instants, ressentir la musique enivrante,
Mais la réalité, comme une danse, changea avec le temps qui avance.
Les premières ébauches, une chorégraphie envoûtante,
Des regards pirouettes, des étreintes, danse palpitante.
Mais avec le temps, la magie s'estompa, flamme déclina,
Pirouettes hésitantes, valse perdant de sa vigueur divina.
Insatiable, elle accueillit un nouveau cavalier,
Mouvements inexplorés, lumière dans l'air, éclat singulier.
La symphonie d'instants inédits, éphémère,
Magie de la danse originelle s'effaça, laissant ombre sur la piste légère.
Un troisième danseur, tango passionné,
Pas audacieux, danse défiante, éclats partagés.
Éblouie, elle s'abandonna aux mouvements envoûtants,
Mais chaque partenaire, la danse devenait répétition, instants fuyants.
Tournoyant d'un bras à l'autre, cherchant l'éternité,
Chaque cavalier promettait séquence, passion désirée.
Pourtant, la danse lente et durable, vraie magie, elle ignorait,
Complicité, connexion profonde, éléments qu'elle négligeait.
Les années passèrent, son énergie persistante luttant contre le temps,
Pas devenant plus lents, souplesse se perdant doucement.
Partenaires, jadis captivés, montraient signes de lassitude,
Quête éternelle de la danseuse devenant solitaire, inquiétude.
Un jour, la piste s'allongeait, mouvements trop rapides,
Épuisée, elle peinait à suivre le tempo, pas confus, avides.
Partenaires, lassés, se détournaient, laissant silence froid,
Rideau tombait sur la piste, danseuse seule dans le noir.
Spectacle touchait à sa fin, danseuse vieillissante sur la scène,
Lumières s'amenuisaient, rythme s'éteignait, douleur en peine.
Comprit enfin que la beauté réside dans l'instant, même éphémère,
Danse lente et durable, elle l'avait ignorée, trop occupée à poursuivre l'éclair
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ArabicStyle a écrit:
Très beau texte tu as du talent !!