Sand déconner, c'est l'essai publié de Nancy Crampton, et voici ce qu'elle dit en introduction : «En tant qu'auteur de romans à suspense, je passe beaucoup de temps à penser au meurtre et, par conséquent, à la procédure policière. Après tout, si le meurtre est censé me libérer, je n'ai certainement pas envie de passer du temps en prison. Et permettez-moi de dire clairement, pour mémoire, que je n'aime pas les combinaisons et que l'orange n'est pas ma couleur.»
Je n'ai pas ouvert le lien mais j'ai envie de te dire, comme tous les écrivains de romans à suspens ou polar, ils connaissent parfaitement les procédure policière et judiciaire, ils ont l'imagination pour commettre un meurtre parfait. Enfin c'est ce qu'ils croient, car entre la fiction et le réel il y a le Canyon entre. Quand ces écrivains passent à l'acte, ils oublient juste une chose que dans la réalité le crime parfait n'existe pas. Enfin je pense.
Tu commences à parler et tu ne t'arrêtes plus, jour et nuit. Il ne devrait pas tenir bien longtemps.
« Le premier des droits de l'homme c'est la liberté individuelle, la liberté de la propriété, la liberté de la pensée, la liberté du travail. » Jean Jaurès.
Le pire c'est qu'elle dit qu'elle n'avait aucune raison de le tuer
However, Crampton Brophy said she had no reason to kill her husband and their financial problems had largely been solved by cashing in a portion of Brophy’s retirement savings plan.
Elle aurait utiliser un gun fantôme (fabriqué à partir des pièces d'un kit d'arme à feu) et donc non traçable... La police n'a jamais retrouvé l'arme. En plus elle dit que c'est un voleur qui l'aurait tué pendant l'effraction, donc elle arrive à s'en disculper (mais apparemment tout était dans son livre, c'est pour ça qu'ils l'ont arrêtée)... c'est bête de l'avoir écrit du coup.
Prosecutors alleged Crampton Brophy had bought a “ghost gun”, an untraceable firearm kit, and swapped parts with a shop-bought handgun.
Police have never found the gun that killed Brophy.