La course contre la montre des sécessionnistes s'affole et s'accélère. Totalement groggy après l'upercut américain, et sentant monter les préparatifs visant à les éjecter de l'UA, ils multiplient les rencontres et les pressions avec les responsables africains et internationaux, quand ceux-ci veulent bien leur offrir encore l'opportunité de les rencontrer. Et à chaque fois, ils mesurent avec désarroi combien leur marge d'action est entrain de rétrécir, face à l'énorme avancée diplomatique et géopolitique réalisée ces derniers mois par le Maroc. On les sent prêts à toutes les concessions et négociations, pourvu que leurs anciens protecteurs et soutiens leur permette juste de ... continuer à exister. Seulement voilà, les choses ont rapidement évolué au plan international, et dans le continent africain lui-même, l'heure est au pragmatisme et au tissage de nouveaux partenariats, mieux à même de répondre aux nouveaux défis et enjeux du développement économique et social. Dixit les discours idéologiques utopiques et opportunistes, bonjour la realpolitik et le sens des intérêts mutuels biens compris. Et dans cette logique, dans cette tendance implacable et incontournable, nulle place pour des entités fantoches nées des cendres de la guerre froide qui deviennent autant de boulets accrochées aux pieds de leurs protecteurs. Entre le Hirak en Algérie, les dures exigences imposées par les contraintes économiques et sociales sur l'ensemble du continent africain, et les craintes croissantes de l'Europe et des États-Unis face à la lente (mais sûre?) montée de l'extrémisme et des réseaux jihadistes et terroristes sur le continent noir (réseaux auxquels s'est connecté avec opportunisme le Polisario), il semble bien que les jours de cette créature du régime militaire d'Alger soient comptés !...
Qui sait, c'est un des derniers voyage de ce type. Il faudrait au lieu de faire semblant de compter sur le plan international réfléchir à la suite. Ils sont condamnés et les caporaux vont les jeter à la poubelle d'un jour au lendemain. La "rasd" a vécu grâce à chèque donné à Edem Kodjo. Ce dernier est déjà mort et la "rasd" devrait le suivre avant les derniers caporaux. Comme ça on aura tourné toute une époque pourrie de l'Afrique corrompue.
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