Alors que le Maroc a séché les deux premières révolutions industrielles, il compte aborder la troisème (celle de la connaissance) avec une armée de diplomés-chômeurs guidée par un quarteron de technocrates ultra-libéraux.
Avec une croissance de 11,3 % des exportations textiles vers l’Union européenne sur les six premiers mois de 2016, l’industrie du tissu a le vent en poupe. Déjà confiant en début d’année sur l’avenir de cette filière, Mohamed Tazi, président de l’Amith, n’en démord pas : le textile est une manne d’investissement.