Au lendemain de sa création, le Front Polisario a évité toute relation avec l’Union soviétique. Il a aussi refusé de s’allier à Cuba et à la Libye, par crainte de la réaction de l’Algérie, qui impose un «contrôle relativement strict» sur les décisions du mouvement séparatiste. En 1983, un document de la CIA (aujourd'hui déclassifié) révélait ce
Des députés britanniques pro-Polisario ont participé en force à un débat organisé par un parlementaire proche du Maroc, portant sur une reconnaissance britannique de la marocanité du Sahara.
Au début des années 1980, le roi Hassan II a su transformer les «victoires» militaires et diplomatiques du Front Polisario en défaites, ce que le mouvement séparatiste a reconnu lui-même. En 1983, un document de la CIA est revenu sur cet aspect du différend régional.