Au début des années 1980, la plus grande crainte du Front Polisario a été que l’Algérie l’abandonne. En effet, le voisin de l’Est a adopté l’idée que le conflit du Sahara ne pouvait être résolu militairement et a commencé à se concentrer sur des issues diplomatiques au différend régional.
Après une course au leadership au début des années 60 et une rupture durant les années 70, 80 et 90, les relations maroco-éthiopiennes entament une nouvelle ère placée sous le signe de la coopération économique.
Au lendemain de sa création, le Front Polisario a évité toute relation avec l’Union soviétique. Il a aussi refusé de s’allier à Cuba et à la Libye, par crainte de la réaction de l’Algérie, qui impose un «contrôle relativement strict» sur les décisions du mouvement séparatiste. En 1983, un document de la CIA (aujourd'hui déclassifié) révélait ce
Des députés britanniques pro-Polisario ont participé en force à un débat organisé par un parlementaire proche du Maroc, portant sur une reconnaissance britannique de la marocanité du Sahara.